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Les espèces animales, objets d’expériences dans les laboratoires ne cessant de croître, deviennent la priorité actuelle des scientifiques subventionnés à cet effet. La dynamique dans laquelle se sont lancées ses derniers, est de trouver de quoi remplacer les espèces animales dans les laboratoires. Dans cet article sont exposées deux méthodes jugées efficaces pour remplacer les animaux dans les laboratoires.
Une courte amélioration source d’optimisme ?
Le nombre d’espèces animales sources d’expérimentation au laboratoire est passé entre 2018 et 2019 de 1 910 519 à 1 865 403 selon le Ministère de l’Enseignement supérieur de la Recherche et de l’Innovation. En effet, la naissance dans les laboratoires de nouvelles techniques pouvant remplacer les expériences animales rend moins nécessaires les essais sur ces dernières. Malgré qu’elles soient mises récemment sur pied ces nouvelles techniques sont jugées plus fiables que celles faites auparavant sur les espèces à savoir : les rongeurs, les porcs, les poissons et lapins…
La méthode d’organes à puces
Elle est considérée comme l’une des plus populaires et est confectionnée par des scientifiques américains. Elle est caractérisée par la culture de cellules in vitro : comme résultat il est obtenu les fonctions des principaux organes humains comme le foie, les poumons et le cœur.
Le « ’Human Skin Equivalent »’ une autre prouesse pour remplacer les animaux au laboratoire
Comme le mentionne son appellation, cette méthode se résume à la production d’un modèle de peau également à partir des cellules cultivées in vitro. Très efficace dans les essais chimiques dermatologiques, à cause de la texture de ses cellules presque identiques à celles de notre peau. Enfin, simuler les réactions de notre organisme à l’agression d’un agent pathogène et mettre en évidence la virulence d’une substance est faciliter par les innovations faites dans la mise au point des systèmes 3D.